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Sexe BDSM avec Maîtresse Anna


Sexe BDSM avec Maîtresse Anna
Mon adoration pour Madame.

Elle s’appelait Anna mais Elle m’avait interdit depuis le début de notre rencontre de l’appeler ainsi. Ce serait «Madame» et rien d’autre. Je ne devais pas être le seul à avoir répondu à son annonce cependant c’est moi qu’Elle avait choisi. Tout simplement parce qu’Elle cherchait un homme ordinaire qui soit apte à obéir mais surtout totalement soumis à ses envies. J'habitais Bruxelles, Elle vivait à Louvain. La petite distance qui nous séparait nous permettait de nous voir une fois par semaine minimum.

J’avais l’air ridicule, le corps nu comme un ver, allongé à même le sol, ressentant une forme de honte de toujours me sentir si vulnérable et surtout totalement dépendant d’Elle . Mais au fond comment pouvait-il en être autrement ?? Madame m’avait donné le matin même des consignes strictes. Je devais l’attendre dans cette position, et ne pas bouger comme un bon chien.

Le bruit de la clé dans la serrure me fit sursauter. Cela devait faire plus de deux heures que j’attendais avec désir et impatience son retour. Mon corps engourdi par le froid du carrelage remua lentement. Elle m’avait promis d’arriver plus tôt mais je la soupçonnais de rentrer tard dans l’unique but de me faire languir un peu plus.

Chaque minute qui s’écoulait me rendait encore plus accro et ça Elle le savait, comme Elle savait que j’étais fou d’adoration pour Elle, que j’étais prêt à tout subir pour recevoir sur mon visage de bon soumis sa superbe chatte qu’elle prenait plaisir à écraser sur mon nez et ma bouche chaque fois qu’Elle en éprouvait le besoin ou l’envie. Parfois même je recevais quelques gouttes de son urine salée et chaude et au lieu de m’écoeurer, ce geste me rendait encore plus « addict » à son pouvoir de femme fatale.

Je ressentis un bien fou en entendant le bruit cinglant de ses talons marteler le corridor. Les bruits s’estompèrent. L’odeur de son parfum ensorcelant vint narguer mes narines tandis que je savais au fond de moi qu’elle se montrerait seulement quand elle l’aurait décidé : Madame décidait de tout pour moi depuis deux ans.

Dès les premiers instants de notre rencontre j’avais l’obligation de l’appeler Madame. Ce fut pour moi le début d’un grand respect pour Elle. Sa beauté me fascinait, son regard posé sur moi me rappelait souvent qu’à ses yeux je n’étais qu’un simple chien de garde obéissant.

Enfin Elle apparut encore plus belle et désirable qu’à l’accoutumée. Blonde avec de longs cheveux soyeux et parfumés, pulpeuse, sa guêpière de dentelle rose moulait chaque courbe de son buste et de sa taille fine. Ses seins fermes et lourds étaient libres, dardant leurs fiers mamelons de façon insolente. Ses longues jambes enfin étaient gainées de bas blancs retenus par un porte jarretelles de fine dentelle délicieusement lacé sur son fessier ô combien rebondi.

D’un bond souple je me soulevais de terre pour embrasser ses pieds nus chaussés de mules plates-formes tellement sexy qu’elles provoquèrent en moi un fort sentiment d’adoration pour Elle suivi d’une énorme érection. Ce fut sans compter sa rapidité car avant même que mes lèvres se posent sur ses orteils vernis de pourpre je sentis une forte gifle retentir sur ma joue. Relevant la tête je reçu juste après un crachat en plein visage. Ma joue me brûlait, Madame ne faisait jamais semblant.

En sa présence je devais baisser les yeux et attendre les ordres. Mais mon désir pour Elle était parfois si intense qu’un simple regard suffisait pour me rendre fou. Je ne pus m’empêcher de me jeter à ses pieds pour lui prouver à quel point ma dévotion pour Elle était totale. Le talon fin et pointu qui s’appuya contre ma joue me rappela aussitôt que j’étais son jouet et rien d’autre. Un joujou sexuel qu’Elle utilisait et rejetait selon son humeur du moment.

Elle n’avait pas besoin de s’adresser à moi pour se faire entendre. Ses yeux me dictaient tout.

Sa voix rauque enfin s’éleva dans le grand salon :

  • Allonges-toi dans ta position initiale sous merde…

Troublé je fis ce qu’Elle me demandait et j’en profitais pour cacher mon érection sous mes mains en les plaquant sur mon pénis désormais raide comme un gourdin. Mais quelques coups cinglants de martinet me firent rappeler très vite que j’avais interdiction de le cacher. Elle voulait toujours le voir, et surtout m’humilier comme maintenant :

  • Que cherches-tu à cacher toi qui n’es pas un homme ! ? Cette misérable crevette qui pendouille lamentablement entre tes cuisses ?

Elle se mit alors à éclater d’un rire cristallin qui me fit perdre la tête. Elle avait le don de m’humilier d’une façon si méprisante que j’aurais tout donné pour qu’ensuite Elle me caresse le visage avec sa main gantée de soie. Avant même que je retrouve mes esprits, mes mains et mes couilles me brûlaient à cause des coups de lanières. Et là avec sensualité Madame ôta sa mule droite et déposa son gros orteil sur ma bouche en lançant fermement :

  • Lèche-moi les orteils « bon à rien », j’ai eu une journée éreintante et je compte bien profiter un max de tes talents de carpette pour me détendre…

J’obéis illico de crainte que d’autres coups de martinet s’abattent sur mes testicules déjà éprouvées et brûlantes. Son gros orteil fit alors une grande exploration autour de ma bouche s’enfonçant dans mes joues, écrasant mon nez pour venir plonger dans ma bouche. Affamé, excité, je me mis à le sucer en me régalant.

Mais le meilleur moment fut lorsqu’elle se mit à écraser mes testicules sans ménagement en y mettant tous ses orteils.

Au bout de quelques minutes, paraissant satisfaite Elle renfila se mule et alla s’asseoir sur la méridienne telle une chatte apaisée. Mais ce fut de courte durée.

  • Vas donc me chercher le gros élastiques pour tes noisettes espèce de mollasson…

Je savais qu’Elle allait m’attacher les testicules en formant un huit autour des chairs, et cela me fit monter la sève au point que je dus me forcer à penser à autre chose pour ne pas jouir : Madame décidait de mes jouissances également et je trouvais cela merveilleux.

Je fis mine d’aller chercher ce que Madame me demandait mais Elle ne fut pas dupe :

  • Depuis quand les chiens marchent debout ??? quatre pattes te suffiront amplement pour aller jusqu’à la chambre et revenir rapporte moi mon gode-ceinture j’ai très envie de te déboiter le fion espèce de Fils de putain…

J’eus le temps de croiser son regard brillant de pouvoir avant d’aller chercher le matériel. Très vite je revins devant Elle avec l’élastique et le gode que je déposais à ses pieds. Là Elle se pencha caressa mes cheveux gentiment en murmurant :

  • Voilà c’est bien, bon chien…

Un frisson d’excitation envahit mon échine, à cet instant je n’étais plus un homme, juste un trou à gode, une bouche à mouille comme Elle aimait me le répéter. J’avais appris depuis deux ans à me plier à toutes ces exigences même si Elle en profitait pour mettre la barre un peu plus haute à chaque nouveau rendez-vous.

Sa main gantée (Madame porte toujours des gants en peau ou en dentelle dès lors qu’Elle me touche et j’ai toujours trouvé cela hyper émoustillant) s’éloigna de mes cheveux pour venir capturer un de mes mamelons. Je dus faire un effort immense pour ne pas hurler car Elle tira si fort dessus que la douleur fut intense et durable. Devant ma mine toute pâle Elle ne put s’empêcher de faire une réflexion :

  • Mais quelle petite « fiotte » tu es ma parole…

Cette fois ci pour bien appuyer ses paroles humiliantes Elle s’y repris à deux mains et tira si fort sur mes tétons que je dus la supplier plusieurs fois de stopper.

Son sourire de satisfaction me redonna du courage. Elle m’arracha l’élastique des mains et commença avec soin à me ligoter les couilles en formant un huit avec mes testicules. Je sentais une petite pression qui augmenterait encore plus lorsque ma Divine me demanderait de me masturber devant Elle.

  • Tu te sens mieux maintenant que je t’ai attaché tes ridicules noix ? Avoues bouche à cyprine que tu adores te faire brider comme un eunuque…

Elle se tint alors juste devant moi, j’étais à genoux, ma tête à hauteur de son pubis. Je sentais presque le parfum entêtant et intime qui s’échappait de son vagin sans doute très humide comme à l’accoutumée. Madame ruisselait régulièrement sur mon visage et je prenais un grand plaisir à bien la nettoyer avec ma grosse langue chaque fois qu’Elle allait ou avait joui. Elle ne prit pas la peine d’ôter son tanga, Elle l’écarta et me plaqua la bouche contre sa chatte odorante et épicée attendant que j’accomplisse mon devoir. Sa vulve aux lèvres fines avait un goût exquis. Je reçu comme à l’accoutumée une bonne dose de fluide sur la figure avant de la voir se cambrer de plaisir sous mes coups de langue experts. Elle me repoussa contre le sol m’offrant la vue de ses superbes seins avant que je disparaisse entre ses cuisses rondes et musclées pour un face sitting redoutable.

Je n’avais pas le droit de la toucher, je devais simplement me servir de mes lèvres et de ma langue pour la contenter. Je me suis régalé de son jus de longues minutes entières, écoutant en même temps ses encouragements très hards :

  • Allez mon gros toutou lèche bien ta jolie maîtresse, ensuite si tu es docile je t’enfoncerais mon gode ceinture bien profond dans ton boyau...

Pour mon plus grand plaisir Elle exigea ensuite que je lui suce longuement ses larges auréoles et ses tétines durcis par le plaisir. Puis le moment tant attendu arriva enfin. Je n’en pouvais plus de me retenir de bander, mon pénis me faisait mal, se cabrai d’envie.

Debout devant Elle, je dus me masturber en cadence, s’arrangeant toujours pour m’interdire de jouir au dernier moment. Elle avait encore son martinet en main, ses yeux bleus perçants me fixaient en souriant, que dis je en jubilant de contentement. J’étais sa lopette, son joujou sexuel et j’acceptais tout cela par amour pour elle.

Quand elle s’aperçut qu’il était de plus en plus dur pour moi de réfréner ma jouissance, Elle me poussa sans ménagement contre la grande table en bois du salon, pris tout son temps pour fermer la ceinture du gode et vint se positionner tout contre moi pour me prendre.

Ses mains gantées enserraient mon cou très fort, je sentais à travers la dentelle ses ongles longs agripper ma chair et j’adorais ça… Elle s’enfonça d’un coup sec en moi, ses mains redescendirent le long de mes hanches pour venir vicieusement écarté mes fesses un peu plus de façon à me remplir intégralement. Je suais de plaisir, les longs vas et viens du gode dans mon étroit derrière eurent raison de moi : je me mis à crier très fort, puis je retombais au sol comme une poupée de chiffon. Un verre d’eau froide sur la figure me remit les idées en place.

  • Lèves toi pétasse et branles toi, quand je te le dirais tu jouiras tout ton sperme sur mes orteils… Tu as compris trou à gode… ?

Je rougis sous l’allusion et me mit à me caresser les yeux dans les yeux avec Elle. Parfois quand Elle sentait que j’allais balancer la purée, Elle me giflait fortement en disant :

  • Tu n’as aucun droit, tu n’es rien, tu jouiras seulement si je t’y autorise !!!

Elle attendit que je ne sois plus capable de me branler pour m’ordonner de jouir sur ses superbes orteils de Déesse. A cet instant je ressentis un vif bonheur et surtout un sentiment d’appartenance fort et indestructible.

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